Café LOBODIS en dosette – un label équitable usurpé
Bonjour,
Un coup de geule aujourd’hui. J’ai il ya peu acheté du café LOBODIS en dosette, au label Max Havelaar du commerce équitable. Quelle a été ma surpise de constater que CHAQUE DOSETTE été emballée individuellement dans un sachet plastique/métal de conservation!
C’est la première fois que je voit autant d’emballage pour un café en dosette, de plus à quoi servent donc ces emballages, Si c’est pour des problèmes de censervation, le sachet qui contient les embalage individuel suffit largement pour le stockage, transport, utilisation rapide du produit et si le consommateur en demande plus, qu’il les mettent dans une boite hermétique.
C’est vraiment une honte que le seule café qui fasse ça soit un café équitable qui est censé protéger l’environnement (voire les objectifs du commerce équitable sur le site de Max Havelaar: http://www.maxhavelaarfrance.org/association/objectifs.htm).
Celà pose en plus de problème du prix, ce café été 15% plus cher que les autres, et un emballage comme ça doit bien faire 15% du prix, donc les gens achèteront moins de café équitable à cause d’un procédé de multiplication des emballage qui est unique sur le marché du café et qui vient en violation avec les principes de base du commerce équitable!
Je vais de ce pas poussez une geulante auprés de LOBODIS et max Havelaar et je n’en rachèterais jamais de ce café!
**** MISE A JOUR ****
Je vient de reçevoir aujourd’hui une réponse de Max Havelaar disant que ce café avait été ensachée à l’époque de cette manière pour conserver son arome mais qu’aujourd’hui pour des raisons évidentes d’environnement la marque avait arrêter de le faire et que les nouveaux produits sortiront sans sachet individuel … et donc à un prix plus bas!
Voici le text du mail:
Bonjour monsieur,
Merci pour votre mail et votre soutien. Ces cafés sont des 100% pures origines (provenant d’une seule et même coopérative) et pour en préserver le goût à chaque utilisation, cette société a choisit à l’époque de leur lancement cette méthode d’ensachage. Aujourd’hui et pour des questions évidentes de préservation de l’environnement et de réduction des coûts, ces dosettes reviennent en linéaire en emballage simple. Vous pourrez trouver très prochainement les dosettes Villa Oriente (bio) et Chamaya en magasin. Le sprix de vente vont être modifiés et l’emballage également. Une remarque, Lobodis n’est pas la seule société à proposer ce type de produits. Segafredo et Lavazza le font sur leur produit dosettes dure (qui ne se vend pas bien certes) et quelques références de marques de distributeurs ont également essayé cet emballage.
Pour plus d’infos, merci de contacter Lobodis via leur site :
http://www.lobodis.com/contact/
Merci pour votre démarche, j’espère avoir répondu à vos questions,
Cordialement,
One thought on “Café LOBODIS en dosette – un label équitable usurpé”
Bonjour, je suis journaliste et vous confirme l’info.
si l’histoire de ce café vous intéresse :
Parution du livre « Pour un commerce juste : La Route du café, des Yungas à la Bretagne » de Tugdual Ruellan et Bernard Bruel
J’ai le plaisir de vous faire part de la parution d’un livre que j’ai coécrit avec Bernard Bruel, enseignant à Rennes, « Pour un commerce juste : La Route du café – des Yungas à la Bretagne » (Editions Rives d’Arz), à la suite d’un reportage effectué dans les plantations de café en Bolivie et l’accompagnement depuis 15 ans de l’aventure initiée par Yves Thébault, directeur du CAT centre d’aide par le travail de Bain-de-Bretagne, Guy Durand, alors président de Max Havelaar France et Olivier Bernadas, torréfacteur, fondateur de la société Lobodis.
Madame Luzmila Carpio, ambassadrice de l’Etat plurinational de Bolivie en France, nous a fait l’honneur d’en rédiger la préface.
Disponible sur http://www.rivesdarz.fr/
(traduit en espagnol) – un CD à l’intérieur de musiques offertes par des amis musiciens ou enregistrées sur place.
En vous remerciant de bien vouloir s’il vous plaît nous aider à en faire la promotion. Les bénéfices seront reversés aux coopératives boliviennes.
Bien cordialement,
L’aventure commence en 1993 lorsque trois Bretons se
lancent, contre vents et marées, dans le commerce équitable :
Guy Durand, alors président de Max Havelaar France,
Olivier Bernadas, gérant de la jeune société Lobodis, et Yves
Thébault, directeur du Centre d’aide par le travail de Bain-de-Bretagne.
Leur défi : proposer un café de qualité, certifié biologique, acheté
au juste prix aux petits producteurs, transformé en France
par des ouvriers en situation de handicap.
Tugdual Ruellan, journaliste, et Bernard Bruel, enseignant,
nous entraînent sur la Route du café bolivien, depuis les
Yungas jusqu’en Bretagne en passant par le Port du Havre.
Route dangereuse mais route de tous les espoirs… Ils se font
porte-parole des producteurs. Ils nous racontent l’histoire de
ces compagnons et coopérateurs qui ont pu, grâce à un commerce juste,
améliorer leurs conditions de vie et retrouver la fierté de leur travail.
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